dimanche 31 mai 2009

gai

Il y a des immeubles mieux entretenus et donc plus gais que d'autre, étonnant quand certains blocs sont à moins de 10 mètres l'un de l'autre...

jeudi 28 mai 2009

Les poubelles...



Toujours difficile le week-end, surtout si il est prolongé...
Locaux à poubelles non vidés pendant plusieurs jours consécutifs, manque de bac à poubelle par rapport au nombre d'habitants donc les bacs débordent vite (trop vite) et se répandent sur le sol...
Et après, on s'étonne que :
  • il y a des cafards
  • il y a des rats
  • il y a des gens qui déposent leurs ordures à l'entrée du local sans y entrer (déjà avec une clef par foyer c'est pas évident à 5 d'avoir toujours la clef en question sur soi...)
  • il y a des gens qui devraient nettoyer et qui nettoient à peine

Et bien entendu toujours pas de tri sélectif non plus : exclu du développement du durable...

chaleur et béton usé

La brusque poussée de chaleur du début de semaine a été fatal à certains éclats de notre béton usé.

Résultat l'huisserie de ma fenêtre de cuisine est désormais apparente et ouverte à tous vents...

Les "alpinistes" sont venus "purger" les éclats ce matin. Métier spectaculaire, étonnant et en voie d'extinction.
Les nouveaux bétons sont fait de manière à ne pas produire d'éclats (via un procédé qui laisse un vide permettant aux barres de métal de rouiller sans faire éclater le béton), donc quand tous nos immeubles des années 60/70 seront - enfin - démolis, il n'y aura plus d'éclats à purger et plus d'alpinistes sur les façades des immeubles.
Curieux métier qui n'aura finalement existé que pour pallier à un manque d'entretien évident...
Ceci dit de la bouche même de l'alpiniste en question des immeubles comme les nôtres c'est "une mine d'or" pour eux. Dommage qu'on vive dedans...

mercredi 27 mai 2009

fuite

une belle fuite qui coulait ce matin du troisième étage jusqu'au rez-de-chaussée via les trous dans les gaines techniques...

jeudi 21 mai 2009

cafards...

En arrivant le plan de bataille était simple :
  • mise en place des pièges - présentés sur le web comme un bon indice d'invasion ;
  • mise en place de bas sur les ventillations pour condamner les accès ;
  • mise en place systématique des bomdes pour éviter une attaque via les canalisations ;
  • présence de nouriture exclusivement dans la cuisine ;
  • cloisonnement strict de toute nourriture dans des boîtes étanches ;
  • nettoyage, ballayage systématique après chaque repas.
Malgré cela, dès lundi le premier assaillant se faisait connaître. Le second est apparu aujourd'hui via une autre voie d'accès mal condamnée (la douche n'a pas de grille sur l'évacuation...).
Les désinfecteurs sont attendus pour vendredi matin mais la guerre est perdue... 

Le bailleur a dépensé des fortunes - de ses propres mots (et on veut bien le croire) - pour éradiquer les cafards mais la garantie des entreprises "anti-cafards" ne fonctionne pas parce que selon ses entreprises, 3 foyers de l'immeuble ne se plient pas aux exigences d"hygiène nécessaire à la lutte contre le cafard.
Très bien et ?...

Et bien rien, voilà, on a dépensé des sous mais bon voilà, ils reviendront... Oui "mais bon voilà" moi j'habite ici, je fais super attention à tout et ils rentrent quand même et je dois me contenter de cette fatalité ?
Certes non, j'ai donc mis en place en bas de la collone de menu mon journal des rencontres avec les cafards, cela ne les fera certes pas partir mais cela me donnera des arguments chiffrés en terme de rencontre à fournir à mon bailleur.

Je vous le colle ici aussi : les tâches marrons c'est les jours de cafard...


Je tâcherais de prendre des photos mais ça court vite ces bêtes-là et je préfère attaquer l'assaillant avant sa fuite que de risquer qu'il fuit pour une photo...

mardi 19 mai 2009

de nouveau connectée

Retour sur la planète web pour de "nouvelles aventures" : A ne pas manquer, le retour du changement des radiateurs avec en guest un radiateur de 1m80 dont on se demande si il tiendra dans l'ascenseur... prévu à partir du 15-05, selon un mot aux ascenseurs.

A noter, le nettoyage des toits avec ratissage des cailloux pour retirer les herbes folles qui y poussent parfois - très intéressant pour qui comme moi habite désormais sous les toits.


A noter aussi, le début de la mise en place des nouvelles fenêtres qui feront l'objet d'un post entier en préambule (parce que c'est une histoire qui risque d'être longue et à épisode).

Enfin, il est toujours bon de préciser que je risque de parler souvent d'hygiène ou de cafards, puisque j'ai démménagé dans l'immeuble aux cafards dont nous avons rencontré le premier représentant ce midi... Malgré la mise en place de pièges avant même les meubles, la guerre semble perdue d'avance...

Mais ce premier post parlera d'abord de "parcours résidentiel" puis de résidentialisation.
Le parcours résidentiel c'est la route tracée pour tout locataire digne de ce nom, cela permet de "mixer les populations" en les renouvellant régulièrement et cela permet une mobilité sur le parc de logement qui théoriquement permet non seulement des augmentations de loyers mais surtout des rénovations/rafraichissement d'un locataire à l'autre. Bref une évolution positive du bâti via la valse des locataires et qu'importe si ceux-ci ont du lien social à préserver.
Moi, par exemple, j'ai du "lien social" sur mon quartier et mon foyer aussi, donc notre parcours résidentiel, on le voulait sur le quartier, c'est pour cela que nous sommes toujours au 272, même après un démménagement.
J'ai de la chance, je suis pratiquement à l'apogé de mon parcours résidentiel en passant d'un "faux F4" à un "vrai" F5. La prochaine fois que je démménage, ça sera parce qu'un enfant a quitté le foyer et ça sera pour plus petit (à moins de devenir "propriétaire" évidement). Et ce qui m'agace dans le "parcours résidentiel" c'est cette voie toute tracée du locataire : 
décohabitation du foyer familial => studio/F1 => installation en couple => F2 => premier enfant => F3 => deuxième enfant => F4 => etc.. => décohabitation des enfants => moins une pièce à chaque fois => retour en studio/F1 (mais avec amménagement pour personnes à mobilité réduite) => concession au cimetière.  C'est tristounet tout cela, cette voie toute tracée vers notre dernière location définitive...

Et puis je voulais aussi parler de "résidentialisation". Du fait que dans l'autre immeuble, j'étais devenue très mal résidentialisation puisque mon "chez moi" englobait pratiquement tout le square. Ceci dit, faut remettre dans le contexte d'avoir habité un immeuble au taux de remplissage avoisinant le 10%, ça doit pas aider la bonne résidentialisation que de penser qu'on est seul dans l'immeuble.
Dans ce nouvel immeuble, nous sommes à un taux normal de remplissage, comprendre que l'immeuble vit, on y croise toujours quelqu'un - ce qui était loin d'être le cas dans l'autre. Cela ne fait pas forcément plus de bruits mais cela influe sur ma résidentialisation qui s'arrête à "mon" pallier pour toucher à "mon" ascenseur mais sans seulement considérer que les escaliers sont "les miens".
Du coup, si j'ai déjà parler de la corelation entre "bonne résidentialisation" et "durée d'habitation", je pense qu'on peut ajouter le taux de remplissage de l'immeuble à l'équation.

samedi 2 mai 2009

vie de quartier

Un bruit de brouhaha qui nous parvient un coup d'oeil à la fenêtre et on constate qu'un tournoi de foot semble être organisé dans le square Offenbach. C'est gai, c'est vivant, il fait beau, c'est la vie de notre quartier.